Poèmes

par Waruna Sam 24 Oct 2009 - 23:19

on voila je propose que si il y a des gens qui ecrivent des poemes ou textes etc les postes ici

Voici un poème écrit par une amie :

Petit ange tombé du ciel
Tu vois la vie n'est pas si belle
En bas les étiles ont disparu
Ton âme se sent perdue
Petit ange remonte la haut
Dans ce monde tu es de trop

par [FpS] Rukene Jeu 3 Déc 2009 - 19:53

Un sourire n'apparaît pas souvent,
mais il est beau quand il est fait avec sincérité,
il ne dure pas longtemps mais,
laisse un souvenir éternelle

Il retranscrit le bonheur,
qui ouvre bien des coeurs,
avec beaucoup de douceur,
et des ondes bienfaisantes,

Un sourire ouvre une porte,
qui nous emporte,
vers un rêve qui rayonne,

Un sourire c'est magique,
ou bien romantique,
C'est le reflet de l'âme,
que tout le monde acclame.

Voila ce poème est de moi

par ForOneurS Jeu 3 Déc 2009 - 20:19

Enfin un topic intéressant .

J'espère voir de bien belles phrases .

par **kalandari** Sam 5 Déc 2009 - 12:20

Frémissement des étoiles
Mouvement dans le brume
Les ombres dansent et s'effacent, un éclair dans le noir le bruissement d'une lame.
Pas un bruit juste le fasseyement d'etoffe dans le vent, un chien hurle et la lune se voile.
Le jour s'est levé amenant avec lui la vision d'un corps sans vie.

Nous sommes assasins et nous nous jouons dans les ombres.

Ode à la mort par Pierrick le jeune lors du IIIeme âge de l'insurection philistinne.

( cheers

j'avais envie)

par **Skarleth** Sam 5 Déc 2009 - 13:08

Trop d'erreurs
Sa bonté ne le sauvera pas
Grotesque désir de survie
Il n'a plus de vie
Il court...
Rayon d'espoir auquel il se raccroche avant de s'effacer
Il tombe...
Chute infernale dans l'abîme qu'il a lui même creusé
L'aurore ne viendra pas pour lui
Exil de l'inutile
Je suis mort

(ou comment avoir 16/20 en français

)

par **Stain** Sam 5 Déc 2009 - 13:48

Le rideau se ferme sur ces tendres années,
a peine ouvert, déjà refermé…
Le voile de l’automne sur la vie passé
m’entraine vers ces temps que je pensais oubliés

Point de rêve, point de larme,
le temps n’attend pas
Imagerie crée dans son antre,
Rêver la vie plutôt que de la passer

Esclave de ces temps qui ne dépendent que de nous,
le souffle chaud de la mort souffle dans mon cou
Image inatteignable que l’on touche sans la percevoir
ce sentiment fugace que l’on ne peut voir

Regarder par les longs carreaux droits
et voir nos souvenirs étiolés se remémorer

Se souvenir et regretter ou bien vivre et oublier

Le temps croit, d’une échelle inconnue,
moi je crois que c’est peine perdue
Je tend a disparaitre, comme mon texte s’évade,
mais j’aurai au moins existé, de par ce vague à l’âme.

pas de moi bien-sûr

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