[FANFIC] Halo: la défense de la Terre.

HALO : LA DÉFENSE DE LA TERRE




PREMIÈRE PARTIE

L HÉRÉTIQUE

Prologue

Lieu : Grande Bonté, neuvième ère de la réclamation








Des centaines de vaisseaux covenants survolaient Grande Bonté. Après le rapport de Tartarus sur la destruction du centre de commandement Covenant, le « Hiérophante Inflexible », le Haut Prophète de la vérité avait ordonné à la Brute de mettre devant le conseil le commandant du vaisseau amiral –qu il avait perdu suite à un combat avec le Spartan 117- « Justice distincte ». Ce commandant, en ce moment même, se trouvait devant le Conseil ou il y avait Tartarus, deux brutes, des protecteurs Élites assis sur les marches qu offraient les « balcons » et en face de l Élite qui attendait sa condamnation, le Haut Prophète de la pitié et, représenté sur un hologramme car il était absent, le Haut Prophète du regret. Le commandant Élite commençait à se défendre :
- Il n y avait qu un seul vaisseau, dit il.
- Un seul ? lui demanda pitié. Vous êtes sur ?
- Oui, répondit l Élite. Il s agissait du Pillar of autumn.
- Expliquez-nous donc comment il a pu vous échapper !
- Je l ai vu entrer sur la passerelle de commandement de mon vaisseau. Je l ai affronté, mais j ai perdu le combat. Mais dans la nacelle, j ai ordonné à tous mes vaisseaux de le poursuivre.
- Lorsque vous avez vu Halo, dit le Prophète de la pitié, sa majesté vous a elle aveuglé ?
- Aveuglé ?
- Aveuglé, paralysé !
- Non !
- Et pourtant des humains ont pu s échapper, atteindre l anneau sacré, et le souiller de leur présence impure.
- Noble hiérarque, comprenez que lorsque le Parasite a attaqué !
Il y eut des protestations dans le conseil, les Élites hurlant leur désaccord.

-Un peu de silence dans ce conseil ! Hurla pitié
Soudain, le Prophète de la vérité arriva et rejoignit ses deux frères d espèce.

-Vous avez eu raison de vous occuper du Parasite, dit vérité. Mais ce démon, ce Major.
-Lorsque j ai compris ce qu il comptait faire, il était déjà trop tard. Dit l Élite. Soudain les deux Brutes le prirent et l emmenèrent vers sa destinée.

DEUXIÈME PARTIE

L ARMURERIE
CHAPITRE PREMIER
Septembre 2552, Station le Caire, (calendrier militaire)

-Vous savez combien ça coûte ce matos fiston ?
Le Major, ou John 117, revêtit sa nouvelle armure MJOLNIR sous les yeux de ses frères Spartans Kelly, Fred, Will, Linda et Sam- . Ils avaient retrouvé le vaisseau de classe Chiroptère que le Docteur Halsey avait volé pour emmener Kelly. Lorsque les Spartans étaient entrés dans le vaisseau, ils avaient vu une patrouille de Grognards. Ils avaient capturé Halsey. Au moment ou John et les autres avaient trouvé Kelly- grâce aux indications du docteur-, ils la sortirent du tube cryogénique dans lequel elle se trouvait. Ensuite, John demanda au docteur pourquoi elle avait emmenée Kelly. La scientifique acquiesça, et allait commencer à raconter lorsqu un tir de plasma lui frappa le dos. Elle chancela, puis s effondra au sol, morte. Le Major cria « Non ! » mais c était trop tard. Les spartans tuèrent les Élites, laissant le Major s occuper du meurtrier de Halsey. Il l avait tabassé alors qu il était mort. Il s était même emparé d une de ses grenades à plasma pour déchiqueter le corps de l Élite.
Ils avaient retrouvé Sam dans un morceau du vaisseau Covenant qu il avait détruit, lui, Kelly et Sam en 2525.Ce morceau se vidait de son atmosphère au moment ou Sam l avait quitté.
-Allez dire ça aux Covenants, dit John au moment où il mit son casque en parlant au Caporal qui était devant lui – et qui lui servait de technicien-.

-Cette armure est un modèle six qui vient d arriver de la nouvelle mombasa. Essayez- la en douceur, le temps de vous y habituer.
- Armurerie ? Ici la passerelle du Caire. Amenez toute l escouade du Major nous rendre visite.
-Bien reçu, monsieur. Dit le Caporal. Ils arrivent. Terminé.
Les Spartans firent un signe de tête à John, et prient l ascenseur. En haut, ils rencontrèrent le Sergent Avery Johnson.
-Salut à vous, Spartans, dit Johnson. Où est le Major ?

-Il teste la nouvelle armure, répondit Kelly en entrant dans le « petit train ». Les sièges étant trop petits pour les Spartans, ils devaient rester debout. Arrivés à la passerelle, un Lieutenant leur demanda de le suivre. Les Spartans n ayant d autre choix, ils suivirent le Lieutenant qui les mena jusqu'à l Amiral Terrence Hood.
Les Spartans saluèrent L Amiral, ce dernier le renvoyant.
-Spartans, je suis très honoré de vous revoir.
-C est un plaisir pour nous également, Amiral dit Fred. Vous vouliez nous voir ?
- En effet. Cortana ? (Il s adressa à l IA que le Major avait gardé pendant longtemps). Montrez nous ce que vous avez.
-A vos ordres, Monsieur répondit-elle.
Des images s affichèrent sur le panneau à coté de Hood. On voyait des croiseurs Covenants -des centaines- en direction d une planète bleue.
-Nous supposons que les vaisseaux Covenants se dirigent vers notre planète, expliqua l Amiral en se rapprochant du panneau. Voila votre mission : protéger le vaisseau présent sur la Station.
-A vos ordres, mon Amiral ! Crièrent les Spartans.

Et ils quittèrent la passerelle.

CHAPITRE DEUX

SEPTEMBRE 2552

STATION LE CAIRE, ARMURERIE.

Le Major termina de tester la visée avec la nouvelle armure MJOLNIR.
-Bon, dit le Caporal. Allons tester les boucliers énergétiques. Mais vous pouvez essayer de vous déplacer. Quand vous serez prêts, rejoignez-moi près de la console.
John fit quelques pas, toutefois en se dirigeant vers la console.
- Écoutez bien, déclara le Caporal parce que je répéterais pas. Ce stand permet de tester la recharge des boucliers d énergie. Les boucliers de la nouvelle armure sont hyper résistants, très efficaces.

Le Major appuya sur le bouton pour commencer la résistance des boucliers énergétiques. Soudain les boucliers se déchargèrent, puis se rechargèrent une fraction de seconde plus tard
-Bingo, cria le Caporal, en ne sachant pas que le Sergent Avery Johnson venait de quitter l ascenseur qui menait à l armurerie. Comme vous pouvez le voir, ils se rechargent bien plus vite !
Johnson fit un signe de tête discret au Major.
-Si vos boucliers faiblissent, mettez-vous à couvert le temps que ça se recharge, déclara le Caporal.
-Sinon il peut se planquer derrière moi. Johnson venait de révéler sa présence. Vous avez fini avec mon petit gars ? Je vois qu il n a plus de problème.
- Son armure fonctionne du tonnerre, Johnson. Alors lâchez- moi un peu. (Il se tourna vers John) c est bon, tout est ok, mais pas la peine de s’emballer.
-Je m occuperai bien de lui, le coupa Johnson. Venez, Chef, on a rendez-vous à la passerelle.
Le Major et Johnson arrivèrent à l ascenseur.
-Alors Johnson, demanda le Caporal. Comment vous avez fait pour vous en tirer, une fois de plus ?
-Désolé, je peux rien dire.
-Ah, ah, mon cul ! Vous pouvez mettre des réglages sur votre lunette à deux. Et pour ce qui est…

L’ascenseur montant, John ne comprit plus rien de ce que disait le Marine.
-Il est de mauvais poil aujourd’hui, dit Johnson.
-Reste à savoir pourquoi, répondit le Spartan.
Ils pénétrèrent dans le « petit train » que l’escouade verte avait utilisé pour se rendre à la passerelle.
-La Terre, commença le Sergent. Des années que je ne l’ai pas vue. Quand je me suis engagé, la défense orbitale c’était rien qu’un simple projet. Et regardez ça : le Caire n’ est que l’une des 300 plates-formes orbitales. Ce Canon AM peut réduire en bouillie un vaisseau amiral Covenant.
Il se passe quelque chose depuis ce matin. Personne ne dit rien, mais je parie qu’il se prépare quelque chose.
-Apparemment – on n’en est pas sur- les Covenants, où ce qui reste de leur flotte, se prépare à nous attaquer.
Le Sergent allait demander si c’était une blague, mais ils arrivèrent à leur destination. Cinq ou six Marines les attendaient et lâchaient un tonnerre d’applaudissements et de sifflements.








TROISIEME PARTIE
LE CAIRE

CHAPITRE TROIS
Septembre 2552, Station le Caire, passerelle de commandement.


Le Sergent Johnson et Le Major quittèrent le « petit train » sous les applaudissements et les sifflements des Marines.
-Vous m’aviez promis qu’il n’ y aurait pas de caméras, dit John en s’adressant à Johnson.
-Et on avait dit que vous seriez présentables, je crois, répondit le Sergent. Les gens ont besoin de héros et d’espoir, Major. Un grand sourire, d’ accord ? Tant qu’il vous reste encore des dents.
Deux hommes de la Navy en face d’eux, au garde-à-vous, s’écartèrent et se mirent au repos.
Les portes s’ouvrirent.


Sur Grande Bonté, le commandant Elite se rendait à un endroit où des milliers de Covenants attendaient ce qui allait se passer. L Elite était suivi par les deux Brutes et par leur chef, Tartarus.
-Hérétique, hérétique ! Crièrent les Grognards à coté desquels passait le Covenant condamné. Ce dernier se fit attacher les bras par les deux Brutes. L’ Elite prit la parole :
-Lorsqu’ ils vont me voir ramper, ils vont être déçus.
-Vous croyez ? lui demanda Tartarus.
Les deux anneaux auxquels les poignets de l’ Elite sont attachés se mirent à chauffer et à brûler les protections des bras du Covenant ; son armure chauffait.
Tartarus grogna-ce qui est un ordre pour les Brutes, arracher l’armure de l’Elite- et les deux Covenants enlevèrent l’armure du condamné.

John avança en direction de la passerelle, toujours en compagnie de Johnson et quand ils furent arrivés devant l’Amiral Hood, se mirent au garde-à-vous. L’Amiral prit la parole :
-Messieurs, je suis heureux de vous revoir. (Puis, se tournant vers l’IA :)Allez-y, Cortana.
Le Major était heureux de la revoir, très heureux, et écouta donc ce qu’elle avait à dire. Il se mit au repos en même temps que Johnson.
-Un autre signal, commença Cortana, près de Io. Des sondes ont été dépêchées.
-Désolé, répondit l’Amiral mais il va falloir que nous abrégions un peu.

Cortana regarda John et le Sergent, puis leur dit :
-Vous n’etes pas mal.
-Merci, répondirent les deux soldats.
-Sergent, Major, commença Hood, la croix des colonies vous a été décernée pour vos actes héroïques. Pour un soldat de l’UNSC…


Tartarus sortit une sorte de bâton, dont le bout était brûlant. Il l’enfonça dans la poitrine de l’ Élite, ce dernier hurlant. On lui imprimait la marque de la Honte.

Le Commandant Miranda Keyes avança et se positionna à coté de l’Amiral Hood, ce dernier lui adressant la parole.

-Commandant Miranda Keyes, les actes de votre père ont été très courageux, mais il s’est éteint sur le Halo que le Major a détruit.
Keyes fut frappée par ces mots, mais elle ne put exprimer sa tristesse

La raison fut très vite donnée.
L’alarme sonna, Cortana prenant la parole pour expliquer la raison de l’alerte :
-Attaque des Covenants sur la terre, expliqua-t’ elle.
-Faites voir, ordonna Hood sans attendre.
-Quinze vaisseaux amiraux : ils semblent être hors de portée de nos armements.
Une voix retentit sur la fréquence radio générale :
-Ici l’Amiral Harper. Envoyez toutes nos forces sur l’ennemi !
-Négatif, répondit Hood. Formez périmètre de défense autour des Stations.
-Commandant, continua t’il, à votre vaisseau. Rejoignez la flotte.
-Bien, Monsieur, répondit-elle.
-Cortana, prenez le contrôle du Canon à Accélération Magnétique et détruisez le plus grand nombre possible de vaisseaux.
-Affirmatif.
-Ils n’ont pas pris de précautions. La flotte qui a envahi Reach était deux fois plus puissante. (Il se tourna vers John.) Major, vous défendez la Station !
-Compris, répondit-il. (Puis, se tournant vers le Sergent : ) Il me faut une arme.
-C’est par ici.
Le Major était prêt à les affronter : il en avait tué des dizaines lui- même pendant des missions ou il se retrouvait seul.
Il était prêt à tous les tuer.

Des centaines de vaisseaux covenants survolaient Grande Bonté. Après le rapport de Tartarus sur la destruction du centre de commandement Covenant, le « Hiérophante Inflexible », le Haut Prophète de la vérité avait ordonné à la Brute de mettre devant le conseil le commandant du vaisseau amiral –qu il avait perdu suite à un combat avec le Spartan 117- « Justice distincte ». Ce commandant, en ce moment même, se trouve devant le Conseil ou il y avait Tartarus, deux brutes, des protecteurs Élites assis sur les marches qu offraient les « balcons » et en face de l Élite qui attend sa condamnation, le Haut Prophète de la pitié et, représenté sur un hologramme car il était absent, le Haut Prophète du regret.

Cox a écrit:

Des centaines de vaisseaux covenants survolaient Grande Bonté. Après le rapport de Tartarus sur la destruction du centre de commandement Covenant, le « Hiérophante Inflexible », le Haut Prophète de la vérité avait ordonné à la Brute de mettre devant le conseil le commandant du vaisseau amiral –qu il avait perdu suite à un combat avec le Spartan 117- « Justice distincte ». Ce commandant, en ce moment même, se trouve devant le Conseil ou il y avait Tartarus, deux brutes, des protecteurs Élites assis sur les marches qu offraient les « balcons » et en face de l Élite qui attend sa condamnation, le Haut Prophète de la pitié et, représenté sur un hologramme car il était absent, le Haut Prophète du regret.

En rouge les passés, en bleu les présents..

Tu donnes ce texte à n'importe quel prof de français, tu as 0..

Tu donnes ce texte à n'importe quel personne qui connaît le français, ça lui donne pas envie de lire la suite (je me suis forçé..).

Si ça ne te choque pas, je t'invite à lire quelques romans avant de continuer ton histoire pour acquérir quelques notions, pck là c'est assez grave..

Et là je ne parle que des temps, il y a aussi de gros problèmes de formulation, d'aération de ton texte, de logique, de richesse du vocabulaire, d'usage abusif du "et", etc..

pck

Pour le "et" tu veux que je mette quoi? Est comme ça? Et puis tu dis de pas faire de langage SMS mais ceci c' est quoi?

pck

Donc voila.

Pour le "et" tu veux que je mette quoi?

Est comme ça?

Et puis tu dis de pas faire de langage SMS mais ceci c' est quoi?

pck

Effectivement, le seul mot SMS que j'utilise est "pck".Je t'invite donc, puisque tu me critiques sur ce point, à choisir un seul mot de la langue française que tu auras le droit de ne pas écrire correctement.Pour tous les autres, en cas de faute d'orthographe, tu seras provisoirement ban du forum